Infos du 09 Février

Publié le par Père Jean-Pierre

 
 

 

Le métropolite Vladimir de Kiev a reçu le cardinal Martino



Le 6 février 2008, le cardinal Renato Martino, président du conseil pontifical "Justice et paix" a rendu visite au métropolite Vladimir de Kiev, primat de l'Eglise orthodoxe ukrainienne. Le cardinal Martino était invité en Ukraine pour présenter le 5 février la doctrine sociale de l'Eglise catholique à l'Université Pierre Mohila de Kiev.

Le cardinal Martino a offert à Mgr Vladimir un exemplaire du Compendium de la doctrine sociale de l'Eglise catholique: "Nous considérons que ce Compendium peut être une plateforme pour le dialogue non seulement entre chrétiens de différentes confessions, mais aussi entre les hommes de bonne volonté qui partagent notre enseignement sur la valeur et la dignité de la personne humaine, car l'homme est créé à l'image et à la ressemblance de Dieu".

"L'Eglise orthodoxe ukrainienne a aussi un document sur la doctrine sociale, a affirmé le métropolite Vladimir. Il est construit tenant compte des particularités culturelles, de la mentalité et des traditions du peuple ukrainien et définit le rôle de l'Eglise orthodoxe dans notre société".

Par ailleurs, Mgr Vladimir a remercié l'Eglise catholique, en la personne du cardinal Martino, pour l'hospitalité que les diocèses catholiques en Europe occidentale accordent aux émigrés orthodoxes des pays de l'Est, leur proposant des églises pour les célébrations liturgiques.
Le métropolite Vladimir de Kiev a reçu le cardinal Martino
 

 

 

Un évêque orthodoxe ukrainien s'est rendu en Italie



Un évêque orthodoxe ukrainien s'est rendu en Italie
L'archevêque Philippe de Poltava (Eglise orthodoxe ukrainienne) s'est rendu en Italie à l'invitation de la Communauté Sant'Egidio pour participer à des manifestations dans le cadre de la Semaine de prière pour l'unité des chrétiens. Mgr Philippe a donné à Catania une conférence dans le cadre du colloque sur les nouveaux martyrs du christianisme. L'archevêque ukrainien fut reçu par l'évêque catholique local, Mgr Salvatore Gristina.

Le 25 janvier, Mgr Philippe a participé à la messe célébrée par le pape Benoît XVI dans la basilique Saint-Paul à Rome. A l'issue de la célébration, il a rencontré Mgr B. Farell, secrétaire du conseil pontifical pour la promotion de l'unité des chrétiens.

Le 27 janvier, l'archevêque Philippe a présidé une liturgie dans l'église russe Sainte-Catherine à Rome. Il a rendu également visite à Tatiana Ijevska, ambassadeur d'Ukraine auprès du Saint-Siège.
 

L'Eglise orthodoxe de Biélorussie a canonisé une nouvelle sainte



L'Eglise orthodoxe de Biélorussie a canonisé une nouvelle sainte
L'Eglise orthodoxe de Biélorussie a canonisé une nouvelle sainte. La cérémonie de canonisation, suivie de la divine liturgie, a été présidée par le métropolite Philarète de Minsk, exarque patriarcal en Biélorussie. Elle s'est déroulée le 6 février dans la cathédrale Saint-Esprit de Minsk et a réuni tous les évêques orthodoxe du pays.

Sainte Valentine Soulkovskaïa est née en 1888 dans une famille de prêtre. Son mari a été emprisonné et exécuté, ainsi que de nombreux prêtres membres ou amis de sa famille. A la mort de son mari, Valentine tomba gravement malade. La maladie ne l'a pas quittée jusqu'à son bienheureux repos en 1966. Elle l'a endurée grâce à la prière et la foi, offrant un magnifique exemple de persévérance.
 
«Réflexion d’un chef de chœur sur le chant de la doxologie des matines orthodoxes» par le père Michel Fortounatto

Nous vous proposons cette «Réflexion d’un chef de chœur sur le chant de la doxologie des matines orthodoxes» par le père Michel Fortounatto ainsi que les notes, du même auteur, du 4e atelier sur le chant liturgique (prochaine réunion lundi 11 février à 20 heures) qui se tient dans la paroisse Saint Séraphin de Sarov à Paris.

Radio : l’église roumaine des Saints Archanges à Paris

Dans l'émission de radio L'Eglise orthodoxe aujourd'hui sur Radio Notre Dame, du dimanche 10 février, Bogdan-Florin Vlaïcu proposera un entretien avec le père recteur Constantin Târziu et avec le père diacre Jean Boboc sur l'histoire et l'actualité de l’église roumaine de Paris (Saints Archanges), qui à célébré le 125e anniversaire de son achat par le roi de Roumanie Charles Ier.

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Vladimir Lossky commémoré à l’académie de théologie de Moscou

Le 8 février, à l’occasion du 50e anniversaire de son rappel au Seigneur, lors de la liturgie, le théologien Vladimir Lossky a été commémoré à l’académie de théologie de Moscou.

Une délégation serbe en visite à Constantinople

Druga_2Conformément à la décision de  l’Assemblée des évêques de l’Eglise orthodoxe serbe et au nom du Saint Synode, Mgr Amphiloque (Radovic), archevêque de Cetinje et métropolite du Monténégro et du Littoral, Mgr Jovan (Vraniskovski), archevêque d’Ohrid et métropolite de Skopje ainsi que Mgr Irénée (Bulovic), évêque de Backa, ont rendu visite, les 5 et 6 février de cette année, au patriarche œcuménique Bartholomée.
A cette occasion, la délégation de l’Eglise orthodoxe serbe a officiellement remis à sa sainteté le tomos de l’Assemblée des évêques de l’Eglise serbe octroyant l’autonomie à l’Archevêché autonome d’Ohrid.

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Une indépendance à hauts risques

samedi 9 février 2008

Le Kosovo pourrait proclamer unilatéralement son indépendance le 17 février. L’Onu craint des incidents et prépare un plan d’évacuation.

Selon la Serbie , le Kosovo, province serbe administrée par l’Onu depuis 1999, pourrait proclamer « illégalement » et « unilatéralement » son indépendance le 17 février. L ’ annonce est venue d ’ un des responsables serbes les plus farouchement opposés à l ’ indépendance : le ministre serbe pour le Kosovo, Slobodan Samardzic, un proche du Premier ministre nationaliste , Vojislav Kostunica. Dans la soirée, le président, Boris Tadic, a d’ores et déjà mis en garde contre le « prix très lourd à payer ».

Des Européens divisés

Selon l’hypothèse la plus fréquemment évoquée, la proclamation d’indépendance devrait effectivement intervenir juste avant une réunion des ministres des Affaires étrangères de l ’ UE , le 18 février. Les pays de l’Union européenne, malgré tous leurs vœux d’unité, s’apprêtent à réagir en ordre dispersé, et certains pourraient ne jamais la reconnaître. Chypre est la plus virulente. Sont contre aussi l’Espagne, la Grèce, la Bulgarie, la Slovaquie et la Roumanie. Ces pays contestent, comme la Serbie et la Russie, la légalité de la scission d’un territoire dont la gestion a été confiée à l’Onu. A l’opposé de ces réfractaires connus se trouvent les « pionniers » de l’indépendance, quatre poids lourds de l’UE : Grande-Bretagne, France, Allemagne et Italie. Ceux-là devraient, comme les Etats-Unis, déclarer leur intention de reconnaître le Kosovo les premiers. Ce malgré les pressions de Moscou, qui annonce que la reconnaissance sera une « épine » dans les relations diplomatiques avec ces pays. La proclamation d’indépendance du Kosovo pourrait entraîner des violences inter-ethniques surtout dans le Nord, où vit encore la plus importante communauté des quelque 100.000 Serbes restés dans la province. Et, pour parer à toute éventualité, la Mission de l ’ Onu au Kosovo (Minuk) a mis au point un plan d ’ évacuation de son personnel international.

L’espoir d’une vie meilleure

A Pristina, la capitale, l’indépendance rime avec l’espoir d’une vie meilleure, faite de stabilité, d’emplois et d’ouverture sur le monde. Au Kosovo, le chômage touche 45 % de la population et environ 37 % des deux millions d’habitants majoritairement albanais vivent avec moins de 1,50 euro par jour. Les Kosovars misent particulièrement sur un afflux d’investissements étrangers.

© Le Télégramme

Extrémistes albanais contre une "indépendance au rabais"

samedi 9 février 2008

Le mouvement Vetëvendosje (Autodétermination), dont le jeune leader Albin Kurti vient d’être condamné à trente jours de prison, milite pour le départ des institutions internationales et une indépendance "immédiate et sans conditions" du Kosovo.

Le mouvement Vetëvendosje [Autodétermination] a annoncé récemment son intention d’organiser des manifestations de protestation contre les institutions internationales présentes au Kosovo, à commencer par la MINUK [Mission d’administration intérimaire des Nations unies au Kosovo], censée quitter le pays sous peu, et la nouvelle mission civile de l’Union européenne, censée arriver bientôt [1 800 hommes].

Les militants de Vetëvendosje réclament de la MINUK une date précise pour son désengagement du Kosovo et craignent que la nouvelle mission européenne ne vienne la remplacer de facto. Albin Kurti, le leader du mouvement, a récemment affirmé lors d’un séjour à Tirana que c’était au Kosovo d’aller vers l’UE, et non pas à cette dernière de venir l’occuper. "Si l’indépendance du Kosovo est proclamée, la MINUK n’a plus de raison de rester ici. La présence de la mission européenne n’est guère nécessaire non plus. Le Kosovo doit surtout avoir son armée pour se défendre", a expliqué le jeune homme.

Albin Kurti est assigné à résidence depuis le 11 février 2007, lendemain d’une manifestation organisée par son mouvement qui s’est soldée par 2 morts et 82 blessés. Il a fait l’objet de trois procès, dont le dernier a eu lieu le 30 janvier dernier. Son refus de s’y présenter lui a valu d’être condamné à trente jours de prison. Il est accusé par le département de la justice de la MINUK de manifestation illégale et d’entrave aux forces de police. De son côté, Kurti se plaint de faire l’objet d’un traitement brutal et injuste de la part des institutions internationales présentes au Kosovo - "les occupants", comme il les appelle. Selon lui, ces derniers craindraient le mouvement qu’il dirige, "le seul mouvement d’opposition existant au Kosovo, qui se bat pacifiquement pour réaliser la volonté du peuple".

Méfiant à l’égard des hommes politiques kosovars qui croient à une indépendance sous supervision internationale, Albin Kurti pense que cette dernière ne sera pas proclamée aussi vite que l’espèrent les Kosovars. "Parce que ce n’est pas nous, mais les ’internationaux’ qui décident", explique-t-il. Il accuse par ailleurs la communauté internationale, et surtout l’UE, d’avoir toujours traité la question kosovare dans l’optique de ses propres intérêts, et non dans ceux du Kosovo. Albin Kurti refuse l’indépendance surveillée préconisée par le plan Ahtisaari, car, selon lui, celle-ci prévoit la décentralisation du Kosovo selon des bases ethniques, "ce qui finira par créer une petite république serbe au sein du Kosovo".

"L’indépendance fondée sur ce plan sera décidée sans prendre en compte l’opinion du peuple du Kosovo, poursuit-il. La proclamation de l’indépendance n’aura pas de base légale parce qu’elle n’a pas fait l’objet d’une consultation populaire. La proclamation de l’indépendance sans que le Kosovo ait sa propre armée le rendra d’autant plus vulnérable." Pendant l’incarcération du leader de Vetëvendosje, ses militants ne comptent pas chômer. Visar Ymeri, l’un des responsables du mouvement, promet toute une série d’actions coups de poing dans les prochains jours.

Artan Behrami pour Courrier International

07 fév 2008 - ATHENES : un nouveau primat pour l'Eglise de Grèce

Le métropolite Jérôme de Thèbes été élu archevêque d'Athènes, le 7 février, par l'assemblée plénière de l'épiscopat de l'Eglise orthodoxe de Grèce, en remplacement de l'archevêque Christodoulos, décédé le 28 janvier dernier. Le nouvel archevêque d'Athènes a été élu au deuxième tour de scrutin. Âgé de 70 ans, l'archevêque Jérôme II est généralement présenté par la presse grecque comme " un réformateur modéré ", connu pour entretenir de bonnes relations avec le patriarche oecuménique Bartholomée Ier et pour s'être opposé, à plusieurs reprises, aux orientations de son prédécesseur, notamment en ce qui concerne la gestion du patrimoine de l'Eglise de Grèce ou encore lorsque l'archevêque Christodoulos avait remis en cause la charte de 1927 qui régit les relations entre l'Eglise de Grèce et le patriarcat oecuménique concernant l'administration des diocèses de la Grèce du Nord (SOP). Plus discret que son prédécesseur, l'archevêque Jérôme a la réputation d'être un intellectuel et un homme d'appareil, qui connaît bien les rouages de l'Eglise de Grèce, mais qui préfère éviter les médias. L'intronisation solennelle du nouveau primat aura lieu après la ratification de son élection par décret présidentiel, l'Eglise de Grèce n'étant pas séparée de l'Etat. Conformément aux statuts de l'Eglise de Grèce et à la charte de 1977, l'élection du nouvel archevêque s'est déroulée lors d'une assemblée plénière de l'épiscopat, dans la cathédrale de l'Annonciation, à Athènes, réunissant, à huis clos, en une seule session ininterrompue, soixante-quatorze des soixante-dix-huit évêques diocésains en exercice (quatre s'étant fait excuser pour raisons de santé), sous la présidence du métropolite Séraphin de Kalystia, doyen en âge au saint-synode, et en présence du ministre de l'Education et des cultes, Euripide Stylianidis. Moins de trois heures de délibération et deux tours de scrutin ont été nécessaires pour départager les quatre candidats déclarés, les métropolites Jérôme de Thèbes, Eustache de Sparte, Anthime de Thessalonique et Ignace de Dimitrias, qui ont obtenu respectivement au premier tour 33, 26, 7 et 7 voix (plus 1 bulletin blanc). Au deuxième tour, ne restaient plus en présence que les métropolites Jérôme et Eustache, qui ont obtenu 45 et 27 voix (plus 2 bulletins blancs). La majorité requise pour être élu au deuxième tour était de 38 voix. Dès l'annonce du résultat final, un porte-parole du gouvernement, Evangelos Antonaros, a transmis les " félicitations du gouvernement au nouvel archevêque dans la tâche très importante qui l'attend, pour le bien de l'Église et du pays ", a indiqué l'agence d'information athénienne ANA-MPA.   L'archevêque Jérôme II (dans le monde Ioannis Liapis) est né le 30 mars 1938, à Oinofytia, en Béotie (centre de la Grèce). Diplômé des facultés de théologie et de philosophie de l'université d'Athènes, il a ensuite fait des études de 3e cycle à l'université de Graz (Autriche), à l'université de Munich et à l'Institut d'études chrétiennes orientales de Ratisbonne (Allemagne). Après une brève carrière dans l'enseignement à l'Institut d'archéologie d'Athènes et dans des lycées d'Athènes et de sa banlieue, il prononce ses voeux monastiques en 1967 et est ordonné prêtre dans le diocèse de Thèbes, où il assumera pendant plusieurs années la charge de vicaire général diocésain et de supérieur de différents monastères, avant d'occuper les fonctions de secrétaire général du saint-synode de l'Eglise de Grèce, de 1978 à 1981. Le 4 octobre 1981, il est ordonné métropolite de Thèbes (siège épiscopal à Levadeia). Sous son impulsion, ce diocèse est devenu aujourd'hui le plus important de l'Eglise de Grèce par le nombre de prêtres diplômés de l'enseignement supérieur. Ses efforts ont également porté sur le renouveau de la vie monastique dans les six communautés de moines et dix-sept communautés de moniales du diocèse. Enfin, le métropolite Jérôme s'est largement impliqué dans la diaconie sociale, en soutenant différents programmes d'actions venant en aide aux personnes âgées, aux immigrants, aux enfants en difficulté, aux déficients mentaux, etc.   Bénéficiant d'une grande influence au sein de l'épiscopat et très populaire auprès de nombreux fidèles, le métropolite Jérôme avait déjà été candidat à l'archevêché d'Athènes, en 1998, face au métropolite Christodoulos qui l'avait finalement devancé au troisième tour de scrutin (SOP 229.1). Depuis 1981, il siégeait dans différentes commissions synodales — formation théologique, relations Eglise-Etat, relations Eglise et société, gestion du patrimoine de l'Eglise — et avait été aussi, pendant un temps, responsable de la chaîne de radio de l'Eglise de Grèce. Auteur de nombreux ouvrages et articles, il est docteur honoris causa de l'université de Craiova (Roumanie) et membre de la Société grecque d'archéologie. Outre le grec, il parle couramment l'anglais et l'allemand.   La tâche qui attend le nouvel archevêque n'est pas mince, soulignent unanimes les journaux grecs et la presse internationale. Il devra s'atteler à la réorganisation d'une Eglise divisée par les luttes d'influence et assainir la gestion de son immense patrimoine foncier et immobilier, qui a été l'objet d'un vaste scandale financier, en février-mars 2005, et a conduit à la déposition de plusieurs évêques suspectés de corruption (SOP 296.4 et 297.3). Les observateurs attendent aussi de voir si le nouveau primat de l'Eglise de Grèce poursuivra la même ligne que son prédécesseur tant dans les relations avec les Eglises orthodoxes locales que dans les relations interchrétiennes, notamment le dialogue avec le Vatican, vis-à-vis duquel une large part de l'épiscopat grec reste encore réservé, voire hostile. L'Eglise orthodoxe de  Grèce compte environ 8,5 millions de fidèles, répartis en quatre-vingt diocèses et environ 7 500 paroisses. Sur le plan juridique, c'est une Eglise d'Etat dont l'organisation intérieure et les relations avec l'Etat sont régies par la charte de 1977. Sur le plan canonique, elle dispose d'un statut d'autocéphalie, de facto depuis 1833, mais reconnu officiellement seulement en 1850. Depuis 1928, les évêchés de la Grèce du Nord et de la Thrace (les "Nouvelles Terres") sont rattachés administrativement à l'Eglise de Grèce, tous en continuant à être placés sous l'autorité spirituelle du patriarche oecuménique, tandis que l'archevêché de Crète et les diocèses des îles du Dodécanèse restent sous la juridiction directe de Constantinople. L'Eglise de Grèce dispose d'un important service de Diaconie apostolique, qui joue un rôle missionnaire essentiel à la fois au sein de la société hellénique et dans de nombreux pays du Tiers-Monde, notamment en Afrique noire et en Asie. La formation théologique est assurée par deux facultés de théologie rattachées à l'université, l'une à Athènes et l'autre à Thessalonique. Le nombre des monastères est d'environ quatre cents.

Publié dans infos diverses

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