Jeudi Saint — le cénacle
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Le cénacle Le style architectural de la «chambre supérieure» est gothique chypriote.
Sur la colonne droite de l’entrée se dessine un bouclier des Croisés portant le nom de la ville allemande Ratisbonne (Regensburg). Les piliers à l’entrée de la chambre supérieure sont plus anciens que la structure des Croisés.
Au-dessus du palier, en haut des escaliers se trouvent des colonnes en marbre qui soutiennent une petite coupole voûtée. Sur l’une des colonnes on peut voir un chapiteau avec deux pélicans (poussins) tirer doucement sur la poitrine d’un troisième, un motif chrétien qui représente l’expiation. La construction en forme de coupole et le mihrab datent de l’époque mamelouke. (source)
Le cénacle est en cours de restauration. «Les anciens graffitis sont très appréciés mais les contemporains nous les avons fait disparaître», souligne John Seligman, archéologue de l’Autorité des antiquités d’Israël, en pointant du doigt une entaille gravée dans la pierre il y a quelques siècles par un pèlerin de passage.
Jeudi Saint — le cénacle
Par ptit moine le jeudi 16 avril 2009, 09:00 - quotidien liturgique - Lien permanent
C'est le Jeudi Saint que le Christ notre Seigneur a instauré la sainte Eucharistie au cénacle (горница, cenaculum, signifiant « salle à manger ») au mont Sion, à Jérusalem (Matth. 26, 19-30). La sainte Cène eut lieu le jeudi soir : c'est pour cette raison que la liturgie (de saint Basile le grand) est célébrée dans la continuation de l'office des vêpres (dans la pratique d'aujourd'hui, l'office est célébré le jeudi matin).
Ce jour-là, marque d'hospitalité en Orient, le Christ lava les pieds de ses apôtres en signe d'humilité — traditionperpétuée aujourd'hui par certains évêques à la fin de la liturgie.
«Car je vous ai donné un exemple, afin que vous fassiez comme je vous ai fait. En vérité, en vérité, je vous le dis, le serviteur n'est pas plus grand que son seigneur, ni l'apôtre plus grand que celui qui l'a envoyé.»
(Jean 13, 1-17).
Tropaire - ton 8 : Chorale du podvorie de la Trinité-Saint-Serge
«Вечери Твоея тайныя днесь Сыне Божий» : Chorale du monastère Srétenski de Moscou
Ce jour-là, marque d'hospitalité en Orient, le Christ lava les pieds de ses apôtres en signe d'humilité — traditionperpétuée aujourd'hui par certains évêques à la fin de la liturgie.
«Car je vous ai donné un exemple, afin que vous fassiez comme je vous ai fait. En vérité, en vérité, je vous le dis, le serviteur n'est pas plus grand que son seigneur, ni l'apôtre plus grand que celui qui l'a envoyé.»
(Jean 13, 1-17).
Tropaire - ton 8 : Chorale du podvorie de la Trinité-Saint-Serge
«Вечери Твоея тайныя днесь Сыне Божий» : Chorale du monastère Srétenski de Moscou
Le cénacle Sur la colonne droite de l’entrée se dessine un bouclier des Croisés portant le nom de la ville allemande Ratisbonne (Regensburg). Les piliers à l’entrée de la chambre supérieure sont plus anciens que la structure des Croisés.
Au-dessus du palier, en haut des escaliers se trouvent des colonnes en marbre qui soutiennent une petite coupole voûtée. Sur l’une des colonnes on peut voir un chapiteau avec deux pélicans (poussins) tirer doucement sur la poitrine d’un troisième, un motif chrétien qui représente l’expiation. La construction en forme de coupole et le mihrab datent de l’époque mamelouke. (source)
Le cénacle est en cours de restauration. «Les anciens graffitis sont très appréciés mais les contemporains nous les avons fait disparaître», souligne John Seligman, archéologue de l’Autorité des antiquités d’Israël, en pointant du doigt une entaille gravée dans la pierre il y a quelques siècles par un pèlerin de passage.