Infos du 21 Février

Publié le par Père Jean-Pierre

 

 

Patriarche

Patriarche Alexis: Les jeunes sont la lumière du monde

Extraits du discours du patriarche Alexis à l'ouverture de la XIIe assemblée conciliaire mondiale du peuple russe. Moscou, le 20 février 2008

 

Patriarche Alexis: Les jeunes sont la lumière du monde
Je suis heureux de vous saluer tous à la XIIe assemblée conciliaire mondiale du peuple russe, à l'assemblée des enfants et des jeunes gens... Un grand nombre de nos jeunes frères et soeurs de différentes régions de Russie et d'autres pays est réuni ici. En m'adressant à vous, jeune génération, de la tribune de ce forum, j'aimerais dire les paroles suivantes: rappelez-vous que c'est vous qui prendrez la relève et aurez, à la suite des générations précédentes, la responsabilité pour l'avenir du pays et de notre peuple. Sachez que vos réussites seront la plus grande joie de vos parents, tandis que vos malheurs et vos échecs les affligeront. Vous devez devenir maîtres de votre propre vie. Devenir, selon l'expression de l'Ecriture Sainte, "des intendants fidèles et avisés" (Lc 12, 42).
 
      

Chrétiens d'Irak : «Nous ne céderons pas à ceux qui nous terrorisent»



« La Croix » s’est associée à la démarche de la Fédération française de la presse catholique (FPCC) qui soutient l’initiative « Pâques avec les chrétiens d’Irak » lancée par Pax Christi. Laurent Larcher , envoyé spécial de la FPCC, accompagnait la délégation conduite par Mgr Marc Stenger, évêque de Troyes et président de Pax Christi France. Il a rapporté ce reportage réalisé en Irak du 11 au 19 février. En solidarité avec leurs frères d’Orient, tous les titres d’actualités de la presse chrétienne se sont engagés à publier, pour la première fois, le même article. Le voici



Les tensions communautaires à Kirkouk s’intensifient de jour en jour. Dans cette ville pétrolière du nord de l’Irak, où Kurdes, Arabes sunnites et chiites, Turkmènes se divisent sous la pression des extrémistes, les 12 000 chrétiens semblent perdus et oubliés. L’entrée de la cathédrale chaldéenne est protégée par d’immenses blocs de béton afin d’empêcher tout attentat à la voiture piégée. Dans le ciel, passent deux hélicoptères américains.

« Votre visite courageuse nous réconforte et nous aide à nous relever. Nous voulons rester en Irak, votre geste renforce notre détermination. » En disant ces mots, Mgr Louis Sako se tourne vers le président de Pax Christi France, Mgr Marc Stenger, venu en Irak à la tête d’une délégation catholique française. Une grande foule a envahi la cathédrale.

« Je ne suis pas venu vous dire ce que vous devez faire mais pour me mettre à votre service, répond l’évêque de Troyes. Nous souhaitons simplement, en vous écoutant, vous aider à trouver les solutions pour que chacun puisse trouver la paix, le bonheur pour lui, sa famille et l’Irak. » À l’extérieur de la cathédrale, la voie des muezzins s’élève à son tour. La nuit vient de tomber.

Tensions intercommunautaires graves

La plaine de Ninive est traversée par des tensions intercommunautaires graves. « Faites pression sur les États-Unis pour que ce pays ne se vide plus de ses chrétiens. Nous nous en allons tous. Les menaces, les vols, les attentats, les kidnappings se multiplient. » La voix d’Adil Mika, membre du comité de défense du village de Tell Escopa s’élève dans la salle calfeutrée du presbytère.

À l’extérieur, une dizaine de jeunes, kalachnikov à la main, monte la garde. Les villages chrétiens de la région sont protégés par cette milice, financée et armée par le ministre kurde des finances, Sarkis Aghajan, de confession chrétienne.


Les chrétiens sont en permanence protégés (photo Larcher/La Croix).

Le maire, un vieil homme au profil de Bédouin, chèche bleu ciel sur la tête, prend à son tour la parole « Nos ancêtres habitaient cette terre avant l’islam. Aujourd’hui, nos filles et nos femmes sont obligées de se voiler dans les villes où les musulmans sont majoritaires. À Mossoul, nous vivons sous le régime de la charia. Pourquoi ? Notre religion est confondue avec celle des troupes américaines : pour les extrémistes, nous sommes des cafards dont il faut débarrasser l’Irak. » « Il faut que la plaine de Ninive soit réservée aux chrétiens », s’élève Sandirska. « Non, non », entend-on aussitôt. « Arrête de dire cela », lance un autre.

Une semaine en communion

« J’aimerais attirer votre attention sur nos frères bloqués à l’étranger : en Syrie, en Jordanie, mais aussi dans la plaine de Ninive, dans la région de Karakosh, de Kirkouk. Ils n’obtiennent pas de visas. Que pouvez-vous faire ? », demande un quatrième. « Nous ne pouvons pas tout, répond Mgr Stenger. Mais je m’engage devant vous à alerter notre gouvernement et mes compatriotes sur votre situation, vos demandes, vos épreuves, vos souffrances. Les chrétiens de France vont vivre la semaine sainte en communion avec vous. Ils pensent à vous, ils prient pour vous. Ils sont vos frères, vous êtes les leurs. »

L’assemblée l’applaudit chaleureusement lorsque soudain, la nouvelle tombe : Pahadi vient d’être libéré. Enlevé la semaine dernière, ses ravisseurs réclamaient 60 000 dollars (40 000 €). Tout le monde se précipite chez lui. Dans la cour de la ferme, parents, enfants, amis, voisins. Pour rassembler la rançon, sa famille s’est endettée pour vingt ans. « “Que ton pape paye !”, disaient mes ravisseurs. Si la France me donne un visa, je quitte la terre de mes ancêtres ! »


Procession des paroissiens en compagnie de la délégation (photo Larcher/La Croix).

Au même moment, l’armée américaine lance une vaste opération à Mossoul, pour chasser les groupes affiliés à Al-Qaida. Impossible donc d’entrer dans la ville. Les deux derniers accès sont sous la surveillance des mafias islamistes. Même le
P. Nageeb, dominicain de Mossoul (cinq lettres et huit SMS de menaces de mort), évite de s’y rendre. « Tous les habitants sont victimes d’attentats et d’enlèvements. Cependant, comme les groupes terroristes sont islamistes, les chrétiens sont la cible de tous. Plus de 50 % ont déjà quitté la ville. »

Chants, prières, youyous

À quelques kilomètres de là, les habitants de Kemreles s’apprêtent pourtant à recevoir dans la joie la délégation conduite par Mgr Stenger. Chants, prières, youyous, discours de bienvenue se succèdent. Mgr Shlemon Warduni, auxiliaire du patriarche chaldéen à Bagdad, est venu saluer la délégation : « C’est la première fois depuis le début de la guerre qu’une délégation chrétienne officielle ose nous rendre visite. Merci. »


Accueil chaleureux pour la délégation conduite par Mgr Stenger, dans le village de Batnaia (photo Larcher/La Croix).

À Karakoch, grande ville chrétienne de la région, tout le clergé assyro-chaldéen mais aussi syriaque est uni pour recevoir la délégation. L’archevêque syrien-catholique de Mossoul, Mgr Georges Casmoussa, a franchi les barrages pour l’occasion. « Nous avons confiance en Dieu, affirme-t-il, nous nous efforçons de faire entendre sur cette terre la parole du Christ, depuis le Ier siècle. Attaqués à Mossoul, nous nous replions à Karakosh : nous construisons un séminaire, une église, une faculté… Nous ne céderons pas à ceux qui nous terrorisent et qui nous chassent. »

Le président – musulman – du Kurdistan, Massoud Barzani, l’a affirmé devant la délégation : « Les chrétiens sont les bienvenus chez nous. » La cohabitation entre chrétiens et Kurdes musulmans ne pose, semble-t-il, aucun problème majeur. De sorte que le Kurdistan apparaît comme le refuge naturel pour ces réfugiés. Mais s’ils ont trouvé un asile, ils n’y ont pas trouvé de travail. C’est pourquoi, là aussi, presque tous caressent le même espoir : quitter le pays.

Le clergé s’y oppose. Il a choisi de se battre pour garder vivante la tradition des chrétiens orientaux. Mais lorsqu’à Bagdad, Mossoul ou même dans les zones plus pacifiques du Kurdistan, un père de famille leur demande : « Pouvez-vous garantir un futur à nos enfants ? », la plupart des prêtres préfèrent se taire au lieu de répondre trop rapidement à une question pour l’heure insoluble.

Les chrétiens du village de Batnaia, plaine de Ninive, sont venus dans leur église écouter Mgr Stenger. Ce village de 300 familles est en majorité chaldéen, il compte aussi une minorité nestorienne et 60 familles de refugiés (photo Larcher/La Croix).
Laurent LARCHER


Les incidents dans le nord du Kosovo reflètent le double jeu de Belgrade à l’égard des Serbes du Kosovo, entre partition et défense de la présence serbe sur le territoire

MITROVICA-GRACANICA (Kosovo)

De notre envoyé spécial

L
e nord du Kosovo, exutoire de toutes les frustrations serbes? Quatre jours après la proclamation de l’indé­pendance du Kosovo dimanche à Pristina, les manifestations et les provocations se succèdent dans ce territoire adossé au sud de la Serbie.
Mitrovica-Nord et les munici­palités de Zubin Potok, Zvecan et Leposavic abritent environ 40 % des 120000 Serbes qui vivent en­core au Kosovo. Deux points de passage incendiés sur les routes qui mènent à Belgrade et au Mon­ténégro, des voitures de l’ONU brûlées, des explosions nocturnes et des grenades lancées contre des maisons albanaises inoccupées du quartier de Bosnjacka Mala : la ten­sion monte chaque jour un peu plus dans ce microcosme de 1000 km

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dominé par les extrémistes serbes où hier en fin de journée la police du Kosovo a réussi à rouvrir deux postes-frontières.
Mardi, avant la fermeture « provi­soire » de ces deux postes-frontières par les soldats de l’Otan, appelés en renfort par la police de l’ONU qui en ont la charge, une quarantaine de véhicules venus de Serbie ont pu rejoindre Mitrovica-Nord et les localités environnantes. Po­liciers en civil du ministère de l’intérieur serbe, membres des services secrets, réservistes ou paramilitaires, l’identité des 700 à 1 000 passagers reste mystérieuse, même si un porte-parole de la Kfor affirme que les bus et les voitures ont été fouillés et que des armes ont été confisquées.
Tout se passe comme si les deux hommes forts de Mitrovica-Nord – Marko Jaksic, président de l’Union
des municipalités serbes du Kosovo et Milan Ivanovic, président du Conseil national serbe –, se répar­tissaient les rôles. À Marko Jaksic, un proche du premier ministre Vojislav Kostunica, les discours et la coordination politique avec Bel­grade, à Milan Ivanovic, par ailleurs médecin et directeur de l’hôpital de Mitrovica-Nord, l’organisation des « volontaires » en coordination avec la police serbe pour contrôler la population et monter des coups de main. «Les gens ont été effrayés par un canular » , expliquait mardi Milan Ivanovic, 52 ans, cheveux courts et visage en lame de couteau, à propos des incidents. « Ils ont réagi spontanément à une rumeur faisant état de la prise de contrôle des postes­frontières par le corps de protection du Kosovo, issue de l’Armée de libé­ration du Kosovo (UÇK). »

Une version qui n’a pas convaincu grand monde à Mitrovica. L’opé­ration de destruction des postes, manifestement bien planifiée et coordonnée, a été menée par plusieurs centaines d’hommes à l’aide d’explosifs et de bulldozers.
À Belgrade, Slobodan Samardzic, ministre pour le Kosovo, a affirmé que le gouvernement serbe avait l’intention de prendre le contrôle des douanes dans le nord du Ko­sovo. «Nous ne sommes pas vrai­ment loin de la partition» , entre le nord à majorité serbe et le reste du nouvel État, commente un res­ponsable occidental à Mitrovica.

« La fermeture par la Kfor des ponts sur la rivière n’est qu’une question de temps. »

Avec l’appui de l’élite politique de Belgrade, les deux «parrains» de Mitrovica-Nord semblent vou­loir mettre en place au Kosovo un système similaire à la Bosnie, avec des structures parallèles soutenues
par Belgrade, qui pourraient être utilisées dans le sens d’une parti­tion. Un scénario qui suscite l’in­quiétude et la réprobation parmi les Serbes qui vivent dans les enclaves au sud de l’Ibar. «La partition est totalement inacceptable, c’est une perspective très dangereuse qui ne sera pas réalisable sans violence et j’ai peur que nous soyons déjà dans ce processus»
, affirme Dragan Velic, responsable du Conseil national serbe à Gracanica.
Dans cette municipalité serbe au sud de Pristina, siège du monastère orthodoxe, résidence de l’évêque Ar­temije, Belgrade finance également toutes les structures parallèles, du dispensaire au bureau de la poste en passant par les écoles et l’univer­sité. Les salaires des fonctionnaires, deux fois plus élevés qu’en Serbie, contribuent fortement à assurer la loyauté des familles aux consignes politiques de Belgrade. Pour autant, la domination politique exercée sur les Serbes du Kosovo par Marko Jaksic et Milan Ivanovic, les ultra­nationalistes de Mitrovica, n’est pas toujours bien acceptée.
Avec l’appui du gouvernement serbe, les deux leaders ont manœu­vré pour empêcher l’émergence d’une direction politique auto­nome dans les enclaves serbes. En 2007, des voix plus modérées comme Oliver Ivanovic et Slobo­dan Petrovic, président du parti libéral indépendant, ont essayé, sans succès, de créer une structure pour coopérer avec les autorités de Pristina et la communauté inter­nationale.

« Le plus gros problème, c’est que ce sont des personnes qui n’ont aucun lien avec le Kosovo, qui n’y vivent pas et n’y ont pas vécu, qui pren­nent les décisions
, affirme Slobodan Petrovic. La politique des gens qui vivent ici avec leurs familles est to­talement différente de la politique de ceux qui n’ont aucun intérêt sur place. » Dragan Velic ajoute : « Les Serbes du Kosovo doivent pouvoir organiser des élections libres et hon­nêtes, en coopération avec l’ONU et le gouvernement serbe, pour choisir leurs représentants légitimes et une direction qui ne soit pas nommée par Belgrade. »
Au siège de Kim Radio, une radio indépendante serbe installée dans la localité voisine de Caglavica, le risque d’escalade au nord ne fait qu’alimenter un peu plus la fébri­lité ambiante.
« Ce qui me préoc­cupe le plus, c’est ce qui va se passer au sud de la rivière Ibar dans les enclaves où vivent la majorité des Serbes du Kosovo », affirme Jivoyin Rakocevic, rédacteur en chef. « Le moindre incident sérieux à Mitro­vica peut déclencher une réaction des Kosovars albanais et ce sera très dangereux pour tout le monde. Les gouvernements de Belgrade et de Pristina sont responsables de cette situation mais ils ne la contrôlent pas. Les autorités de Belgrade se di­sent opposées à la partition mais elles ne s’opposent pas à sa mise en œuvre sur le terrain. Le comporte­ment des dirigeants de Pristina ne nous incite pas à participer à leurs institutions. Aujourd’hui, les Serbes du Kosovo ne peuvent décider de rien. Notre destin est entre les mains du nationalisme albanais. »

FRANÇOIS D’ALANÇON

« Les gouvernements de Belgrade et de Pristina sont responsables de cette situation mais ils ne la contrôlent pas. »




Jarinje. Mardi, des Serbes du Kosovo ont brûlé ce poste-frontière en réaction à la déclaration d’indépendance.

SRDJAN ILIC/AP
Présentation de la bibliothèque de l'Institut Français d'Etudes Byzantines (IFEB)

La bibliothèque de l'Institut français d'études byzantines (IFEB), forme avec la Bibliothèque œcuménique et scientifique d'études bibliques (BOSEB) la bibliothèque Jean de Vernon qui fait partie de l'Institut catholique de Paris. L'IFEB est spécialisée dans l'étude du monde byzantin : histoire de l'Empire byzantin, institutions de l'Eglise orthodoxe, patriarcat de Constantinople, patristique grecque… Depuis 2006, l'IFEB est devenu pôle associé de la Bibliothèque Nationale pour l'orthodoxie grecque. Nous avons rencontré Mme Vassa Conticello, directrice scientifique de l'IFEB, qui nous a présenté les activités de la bibliothèque. Vous pouvez également visualiser les photographies de l’exposition « Bibles anciennes » qui se tient jusqu’au 29 février à l’IFEB.

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Ce mercredi 20 février, Jean-François Colosimo a publié dans les pages « Débats » du Figaro un appel à « Sauver la présence orthodoxe au Kosovo » (paru dans le quotidien du matin sous le titre : « Au Kosovo, le paradoxe néocolonial d'une indépendance surveillée ») qu' Orthodoxie.com donne ici en lecture.

Sauver la présence orthodoxe au Kosovo
L’Europe a rendez-vous au Kosovo. Cette fois, c’est son destin spirituel qui se joue au cœur de ces Balkans où sont venus mourir tous ses rêves impé¬riaux, le long de la ligne de fracture qui court de Riga à Split, qui vit jadis s’opposer Carolingiens et Byzantins, et qui divise depuis l’Ouest de l’Est. L’Union n’a pas manqué de se fissurer, d’ailleurs, face à l’annonce d’une indépendance que  les bombardements américains, sous couvert de l’Otan, en 1999, auront rendu d’autant plus inéluctable que le projet d’une épuration massive se sera effacé derrière la réalité d’une purge silencieuse. La combinatoire des craintes et des intérêts, des alliances et des clientèles a fait craquer la façade d’unité. Chacun pour soi, donc – et ce, jusqu’à voir l’Espagne, sous la main sûre de Moratinos, endosser  à nouveau, et à son profit, le jeu traditionnel de la France !

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Le nouvel archevêque d’Athènes et de toute la Grèce, biographie

New_arch

Elu depuis peu de temps, l’évêque Jérôme de Thèbes nouvel archevêque d’Athènes et de toute la Grèce a obtenu 45 voix contre 27 au métropolite de Sparte, monseigneur Efstatios.
L’archevêque d’Athènes et de toute la Grèce, monseigneur Jérôme (Jean Liapis pour l’état-civil) est né à Oinofyta en Béotie en 1938. Il est licencié de la faculté de lettres (département d’archéologie) et de théologie de l’université d’Athènes et premier à obtenir une bourse de la Fondation nationale des bourses pour les études byzantines. Il s’est rendu à Graz (Autriche) pour ses études post-universitaires et à Ratisbonne au monastère en Allemagne.

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Le métropolite Laur et la mission au sein de l’émigration russe

Le métropolite Laur, hier à Moscou, a évoqué la mission au sein de l’émigration russe. Il a ainsi observé : « Malgré l'existence et l'épanouissement des écoles paroissiales, nous n'allons pas suffisamment à la rencontre de la jeune génération. »

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L'œuvre ascétique de saint Ephrem le Syrien - 6

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Comme Dieu se montre fidèle à sa parole en ces réalités sensibles, ainsi le sera-t-il à l’évidence en ce qui concerne les biens auxquels l’âme aspire. Et si le monde sensible passera lorsque le Créateur l’aura décidé, la gloire des saints, elle, n’aura pas de fin. Mettons donc tout notre zèle à produire de dignes fruits du repentir de peur que, exclus de cette joie, nous soyons livrés aux ténèbres éternelles dont la souffrance est intolérable. Et si cela te paraît utile, entre dans ta chambre, ferme porte et fenêtres, obstrue toute source de lumière, et demeure durablement à l’intérieur. Tu sauras ainsi d’expérience quelle souffrance occasionne l’obscurité.

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Publié dans infos diverses

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